Le matin réveil à 6h30 afin de respecter le temps de digestion nécessaire avant course (petit déjeuner standard : café au lait, pain complet, miel et jus de fruit (mais pas trop)).
A 8 heures, 2 bonnes parts de gâteau sport histoire d'amener un peu d’énergie complémentaire et direction Lille.
Arrivée au siège de Lille métropole, il y a du monde, 30mn d'attente pour les consignes et je me dirige vers le départ (encore 30 mn d'attente).Je vise entre 4:15 et 4:30, donc naturellement je me place dans le SAS 4:15 mais vers le fond, juste avant les 4:30.
Un peu avant 9:45 c'est le départ, la météo n'est pas au beau fixe mais c'est déjà mieux que la veille je garde le coupe vent et le bonnet pour le moment.
A 8 heures, 2 bonnes parts de gâteau sport histoire d'amener un peu d’énergie complémentaire et direction Lille.
Arrivée au siège de Lille métropole, il y a du monde, 30mn d'attente pour les consignes et je me dirige vers le départ (encore 30 mn d'attente).Je vise entre 4:15 et 4:30, donc naturellement je me place dans le SAS 4:15 mais vers le fond, juste avant les 4:30.
Un peu avant 9:45 c'est le départ, la météo n'est pas au beau fixe mais c'est déjà mieux que la veille je garde le coupe vent et le bonnet pour le moment.
Jusqu'au KM25, la course suit son cours, je respecte les conseils d'Yvon et m'arrête à chaque ravitaillement (un tous les 2,5 Kms) et je garde un rythme régulier (15 mins entre chaque ravitaillement), je suis dans les temps (passage au 25ème Kms : 2:33).Après on rentre dans le dur et le vent se fait bien plus présent. Cela commence à faire mal et c'est le mental qui prend le relais, objectif : rejoindre le KM30 (3:03), puis le KM35. Après on attaque la plaine avec un vent infernal, je décompte les kilomètres jusqu'au 41ème ou mon fan club me redonne un super coup de booster et je retrouve suffisamment d’énergie pour rejoindre en accélérant la ligne d'arrivée.
Après la ligne trou noir mais je suis envahie par une joie intense, j'admire ma médaille, je suis marathonien et c'est sur il y en aura d'autre.
Olivier
Après la ligne trou noir mais je suis envahie par une joie intense, j'admire ma médaille, je suis marathonien et c'est sur il y en aura d'autre.
Olivier